Ce théorème décrit ce que l'on peut attendre des figures de diffraction de deux pupilles complémentaires. Des ouvertures sont dites complémentaires si la partie ouverte (resp. fermée) de l'une des ouvertures épouse parfaitement la partie fermée (resp. ouverte) de l'autre ouverture. Ainsi un cheveu d'épaisseur est la pupille complémentaire d'une fente de même ouverture . Un disque de rayon est l'ouverture complémentaire d'une pupille circulaire de même rayon (voir figure 14).
Figure 14 : Représentation de deux ouvertures complémentaires