Le fait que le nombre d'interactions particule-cible (la cible étant un atome ou un noyau par exemple) soit proportionnel au nombre de noyaux cible sous faisceau et proportionnel au nombre de particules incidentes paraît une évidence.
Le fait qu'il soit inversement proportionnel à la surface de recouvrement A du faisceau sur la cible mérite peut-être une explication. En effet, pour un même nombre de noyaux cible et de particules incidentes, plus ceux-ci seront “concentrés” dans un volume restreint, et plus la probabilité d'interaction sera forte.
Explication quantitative | Informations