Conclusion
Dans ce chapitre les grandeurs susceptibles de décrire le mouvement d'un solide ont été développées.
Ce mouvement est le plus souvent une composition entre une translation d'un point du solide et des rotations autour de ce point.
Deux référentiels au moins sont utiles pour décrire cette composition de mouvements, avec des centres et des axes à définir selon le solide.
En effet les symétries du solide jouent un grand rôle mis en évidence lors du calcul du moment cinétique (ou angulaire) et retrouvé avec l'énergie cinétique.
Le rôle particulier du CDM du solide a été pointé, pour la translation mais également comme centre d'inertie et décrire ses symétries.
La notion d'axes propres du solide a été introduite, des axes qui nécessairement tournent avec le solide et dont la position instantanée va décrire les rotations du solide... par rapport à des axes fixes qui caractériseront la position initiale.
À présent, les formalismes vectoriels et lagrangien peuvent être développés.