Conclusion
Pour décrire le solide par le formalisme vectoriel des théorème généraux (chapitre II), la connaissance du moment cinétique suffit.
Mais avec le mouvement de précession, une anticipation sur le chapitre II a été nécessaire.
Pas pour le solide où seule la conservation du moment cinétique et une rotation "inclinée" suffisent,
mais pour une description plus générale de la précession, la rotation est associée à des forces sous forme de couple et/ou dues à un champ extérieur pour produire le même phénomène.
Avant d'aborder le second chapitre et dériver les équations du mouvement du solide, et en vue de développer le formalisme lagrangien en parallèle de celui vectoriel, un dernier outil est nécessaire, qu'il est utile de décrire tout de suite après le moment angulaire : l'énergie cinétique.